XXVII (partie 2) : « Les mauvais calembours »

Publié le par perdy

« Une femme écologiste épuise son partenaire

Car elle a trop tendance à remettre le coup vert. »

 

« Un écolo recherche les endroits pollués

Et il occupe les lieux, pour pouvoir dénoncer.

Il met, dans cette pratique, tout l’art et la manière :

Car celui qui est à l’endroit est talent vert. »

 

« Chez les poissons, le fils pratique le pugilat

Car il est bien connu que le bar bat papa. »

 

« A la messe des vampires, le sang coule partout,

D’autant qu’on entend le saigneur soit avec vous. »

 

« La probité doit être la qualité première

De tous ces politiques qui rêvent de bien faire.

L’électeur choisira un candidat honnête,

Car il est difficile de voir sans l’élu net. »

 

«  La femme est affolée quand elle n’est pas niquée. »

 

« La servante ahurie noircit son tablier

Car la femme de ménage est souvent en foncé.

Mais on peut supposer qu’elle baise comme une timbrée

Si la femme de ménage est souvent enfoncée. »

 

«  Un goret pédéraste doit freiner ses pulsions

Car il ne peut sauter l’étroit petit cochon. »

 

« La Reine adore aller, le dimanche, à la messe ;

Et elle dévore des yeux quand tous nos laquais quêtent. »

 

« C’est un plus d’avaler, dans l’échelle des pompiers. »

 

« Le pet termine toujours un merveilleux repas ;

T’en pétes du dessert, pratique des USA. »

 

« Les homosexuels sont gais comme des pinsons,

Et s’ils ne rigolent pas, je leur dis : « Gay, ris donc ! »

Alors quand ils me disent qu’ils sont vraiment contents,

Je suis dubitatif, car souvent le gay ment. »

 

« Quand un meunier homo se veut très attirant,

Il incite au mystère et vante le trou blanc. »

 

« Un indien qui est gay  a, toujours, un surnom :

Et quand on le rencontre, on pense au gay, l’huron. »

 

 

« Quand j’étais étudiant, je jouais très souvent

A un jeu qu’on voulait complètement dément :

Les quatre as étaient ceux qu’on avait inventés

Et leurs valeurs étaient, parfaitement, fixées.

La carte de l’as caris représentait un ver

Et celle de l’as ticot, l’entrée d’un cimetière ;

Pour celle de l’as stigmate, un trou dans les poignets

Et celle de l’as censeur, un journaliste muet. »

 

« Le kiné obsédé peut soulager beaucoup :

Pour le torticolis, il faut tirer un cou. »

 

« Pour l’impuissant notoire, ce qui peut justifier

Son peu d’empressement, c’est qu’il n’est pas tenté.

Et au moment crucial, quand il doit exercer,

Il doit bien avouer qu’il ne peut pas niquer. »

 

« Chez les grecs, l’impuissant était fort au combat,

Et dans toutes les batailles, c’est vrai, le mou saqua. »

 

« Quand on paye des impôts, on a tendance à faire

Une émission d’urine et donc, on pisse au tiers. »

 

« La femelle pubère est porteuse de relents

Qui attirent le mâle, puisque l’ado les sent. »

 

« Tous les homos détestent les approches poussives

Car quand on les fréquente, ce sont des tantes hâtives.

Se faire traiter de pieuvre est parfois ridicule,

Sauf pour tous les homos qui ont des tantes à cul.

Un hétéro est bien une personne esseulée ;

C’est flagrant surtout s’il n’est pas beaucoup aidé.

Un gay qui vit un drame, c’est un pas gai qui rame.

Un hétéro qui nage, c’est un pas gay qui rame

Méfiez-vous des homos qui sont un peu violents,

Car ils sont dangereux, parfois, ces gays tapants.

On n’est jamais pédé de façon mitigée,

C’est souvent tout ou rien car on est tante innée.

Un écolo qui est homo et en est fier,

Est souvent décrit comme une sorte de trou vert »

 

« Un écolo assis ne témoigne jamais,

Car il est bien connu que le vert assis tait. »

 

« J’ai connu un négro qui n’avait jamais faim ;

Du coup, il était mince : c’était un nègre fin.

Pourtant à sa naissance, il faisait six kilos,

Certains disaient de lui : « C’est vraiment un né gros. »

Et comme tous ses amis l’appelaient Mamadou,

Il en riait souvent : c’était un nègre doux

 

«  J’ai vu que Dieu faisait un paradis rêvé…

Mais pour faire le pendant, il fit l’enfer forgé. »

 

« L’anglais aura toujours un faciès de crapaud

Car avoir un thé tard ne vous rend pas très beau. »

 

« Un type, au stade anal n’a vraiment pas de tête :

Cela est très normal car tout anal fait bête. »

 

« Les soldats africains sont souvent des pédés

Car quand un soldat tire ailleurs, c’est décalé. »

 

« Un banquier musulman adore manier l’oseille ;

Son fils en fait autant : ben et fils, c’est pareil. »

 

«  Une sangsue malade se doit d’être évitée

Car il faut se méfier d’une sangsue alitée. »

 

« Quand Bush est un peu triste et qu’il ne va pas bien,

Il hennit à tout crin : c’est un amère équin. »

 

« Hercule était très lent, costaud et fortuné

Mais l’aisance de lent fort, ça peut vous transporter. »

 

« Si tu poses un lapin, tu es très mal élevé…

Mais pour poser la pine, il faut bien t’élever. »

 

«  Au bal masqué des bêtes, on est parfois surpris ;

Pour que l’autruche vienne, c’est en autruche en gris. »

 

«  Quelle est la différence entre un alligator

Et un vieux crocodile ? Je m’interroge encore.

Quoiqu’en y pensant bien, la seule réponse réelle,

C’est qu’il n’y en a pas : c’est caïman pareil. »

 

« Un nain qu’on a peu vu, n’est pas un nain connu. »

 

« En Chine, les diplomates sont éjectés bien vite,

Et ils utilisent le balai diplomatique. »

 

« Les homos aiment draguer et sauter les bâtards

Car ils sont très friands de la raie aux beurs noirs. »

 

« Quand tu as des cheveux, ton sexe est bien plus fort

Et l’histoire de Sanson nous le démontre encore.

Une célèbre coiffeuse s’appelait Dalila

Et elle l’émascula ; on dit : « T’as rase, boules bas. »

 

 

« Un homme qui, de naissance, a un poil dans la main

Est digne du grand Reich, car c’est un bon à rien. »

 

« Les irlandaises adorent se faire tirer un coup

Et ça les met en transe, de sentir le coup roux. »

 

« Hitler, tu dois tuer tous les petits moineaux

Car tu es allergique : les plumes agacent ta peau. »

 

« Le banquier britannique est toujours un salaud :

Quand tu veux du liquide, il répond : « Water… l’eau ! »

 

« La crèche fut un abri pour la vierge Marie

Et l’orage a mouillé les santons sous la pluie. »

 

« L’Amérique n’a jamais fait la preuve d’un bon goût :

La Maison Blanche abrite une fameuse Bush dégoût. »

 

«  Au Brésil, l’imprimeur utilise des nabots :

Et c’est un vrai spectacle car les nains pressent à Rio. »

 

« Les chapons, en Bretagne, sont célèbres et très ronds :

Ils ont des chapons ronds et vive les bretons ! »

 

« Au sud du Sahara, les députés petits

Sont bêtes de naissance: c’est des ânes au Mali. »

 

« Un amour obséquieux finit toujours coiffeur :

L’aimé trop poli, teint et fait, ainsi, son beurre. »

 

« Si votre hantise est de couper le gazon,

Mettez un âne bâté, car c’est sûr, l’âne tond. »

 

«  Le pétomane est mort ; pour nous tous, c’est un drame.

Mais il nous a quitté : Alors, pet à son âme. »

 

« L’âne de Buridan était un âne teigneux

Et ses coups de sabots étaient parfois fougueux.

Et l’on voyait souvent, après une colère,

L’humain qui l’emmerdait, finir au cimetière.

Le taureau ne rue pas, il tape avec sa tête

Et sa façon de faire, n’est pas beaucoup plus bête.

Dans les deux cas, l’humain est victime d’un drame

Car pour tous les bovins, les têtes tuent comme un âne. »

 

«Un vrai buveur de bière a la conscience sans tâche

Même si un dicton nous dit que la mousse tâche

Et quand il va pisser, il surveille sa tâche

Car il faut se méfier, c’est connu, la pisse tâche. »

 

« Le cierge, c’est comme un sexe… Après, il est petit,

Car il fond à vue d’oeil et alors, le bout gît. »

 

« Je connais une putain, spécialiste en bossu ;

Dés qu’elle peut en voir un, elle lui saute dessus.

La laideur est, pour elle, une vraie spécialité

Et elle atteint son but : c’est vrai qu’elle piste au laid. »

 

« Il est tellement pressé de sortir sa quéquette,

Qu’il veut toujours tirer avec la mi-brayette. »

 

« Quand un tout jeune homo veut baiser un idiot,

C’est que pour convoler, il lui faut un trou sot. »

 

« Celui qui médit est un camarade indigne ;

Mais s’il vous fait un chèque, c’est qu’il persifle et signe. »

 

«  Les plus grandes amoureuses ont des métiers choisis

Et à  San Francisco, elles sont dames-pipi.

Là bas, très aguichantes, au fond de leurs alcôves,

Elles attendent le client : pour elles, c’est pisse and love. »

 

« C’est sûr que les vrais cons s’envolent lentement

Car, par définition, ils ont le cerveau lent. »

 

« Les sacrés cons font bien partie de ces tarés

Qui croient qu’ils ont l’honneur d’être des cons sacrés. »

 

«  Un nain qui est facteur est bien un nain posteur. »

 

«  L’abruti fut sauvé et ce fut bien le seul :

Etant hors du cyclone, c’est un con pas dans l’œil. »

 

«  Un con qui se masturbe sommeille après l’effort,

Surtout, à Mexico, car le con qui se tâte, dort. »

 

« Cyrano est resté un héros peu banal,

Car il est, pour nous tous, une narine nationale. »

 

« Un lombric ballonné est très handicapé

Car un ventre gonflé empêche de circuler.

Alors, il ne sort plus et péte, jour et nuit :

On pourrait dire qu’il gaze trop en terre, au logis. »

 

« Au Vatican, les prêtres subissent un sérieux tri :

Le pape est à cheval sur les hommes des curies. »

 

« Chez les vikings, les ânes avaient des noms divins ;

Et le plus remarquable était bien l’âne Odin. »

 

« Pour le cunnilingus, il faut avoir du nez :

Il te sert de baguette ; alors, tu  sens ta fée.

Et si du coté sexe, tu es un peu benêt,

Sois sûr que ton nasal, c’est bien des couilles au nez. »

 

« Chez un coiffeur, les poux deviennent parfois peureux

Et l’alerte est donnée quand ils crient : « Chauve qui peut ! »

 

« Le naturel des chauves n’est pas ce que l’on dit :

Ils sont toujours joyeux car tous les chauves sourient. »

 

« Si vous voulez pisser, ne demandez jamais,

A un abbé sourdingue, où se trouve l’évêché. »

 

« Lors d’un remaniement, un président sévère

Décida d’une purge, ayant bien trop de verts. »

 

« Un dingue qui est tenté de devenir voleur

Devient, si c’est le cas, un vrai marteau-piqueur. » 

 

« Tous bâtards d’anglais adorent rester au lit

Car ils sont très portés sur le thé au logis. »

 

« On sait que Marthe Richard souffrait d’une psychose :

La preuve, elle a voulu fermer des maisons closes. »

 

« Un général qui va, bientôt être décoré

Est un récipient d’air….. On s’en serait douté ! »

 

« A Pékin, on vénère de célèbres castrats,

Mondialement connus comme grands chapons chinois. »

 

« Gambetta se shootait à la bêtise des cons ;

Car il est bien connu, qu’il se camait, Léon. »

 

« Pour bien nous éclairer, il doit avoir du charme

Mais surtout être hargneux et rageur, l’élu carne. »

 

« Une mouche musclée peut causer quelques torts ;

Et les touristes doivent se méfier des taons forts. »

 

« Le sexe de l’hystérique crie bien souvent famine ;

C’est pas une invention car le con court les pines. »

 

« Les pets des grands seigneurs sont souvent recherchés :

Avoir un gaz au Duc, c’est vraiment apprécié. 

C’est surtout en Savoie que l’amateur y gagne

Car c’est bien connu que le gaz part des montagnes. »

 

 

«  Le véritable chinois sera toujours petit

Car, depuis son enfance, il est appris au riz. »

 

« Pour les victimes de guerre, c’est la misère qui guette

Et on peut concevoir que tous les casqués quêtent. »

 

« Les oreillons touchèrent la maison de retraite,

      Et un homme fut touché au niveau des roupettes.

   Mais cette maladie n’en touche qu’une sur deux

 Et les vielles avaient la cerise sur le gâteux. »

 

«  Sodomiser Dumas n’est pas une mince affaire

D’autant qu’il est l’auteur de l’étroit mousquetaire. »

 

«  Certains cumulent les tares et en veulent au destin ;

La nature est bien dure quand on est saoul et nain :

Un nain  bien contrôlable

Est un nain saoul tenable ;

Quand il est trop barbant,

C’est bien un nain saoul chiant.

 

« Quand on dit qu’une femme a été contentée,

C’est que le sexe à pile a bien été branché. »

 

« Le macho italien fait toujours la cuisine

Tout en se glorifiant de bien manier la pine

Car tout homme est aux pâtes, là-bas, en Italie

Et leur spécialité, c’est d’être ravis au lit. »

 

« Le sexe masculin

    Est appelé la pine.

   La toison féminine

         Doit s’appeler lapin. »

 

« Quand on parle de chieur, c’est toujours imagé ;

L’anus n’est pas la bouche et on ne chie qu’aux raies. »

 

« La vieille femme avait perdu son cher mari

Et suivant le conseil de ses quelques amis,

Elle mordit dans le bras de son ancien amant

Car ils lui avaient dit : « Tu prends le mort aux dents. »

 

« La Martinique est bien  le paradis des hommes

Car c’est là qu’on y trouve, le plus de bisous de rhum. »

 

« On dit que l’ascaris est comme un spaghetti !

Cela est, sans doute, fait pour couper l’appétit.

Et toi, qu’en penses-tu ? En as-tu déjà vu ?

Si on te l’avait dit, franchement, l’eusses-tu cru ? »

 

« Tous les angéiologues sont réputés radins

Car pour eux la varice est vraiment un gagne pain. »

 

: « Quand on est bien élevé, on doit mourir couché

Le défunt convenable est un mort alité. »

 

« Un pet tard est souvent un gaz bien ordinaire

Qui permet d’effacer l’odeur du pet tôt d’hier. »

 

« Quand Rodin devint veuf, ayant perdu sa belle,

Tous ces amis lui dirent : « Tu pleures ta morte Adèle. »

 

« Un ascaris n’est pas un animal bruyant ;

Il est très policé… On parle de ver galant. »

 

« Les acteurs s’embrassent tous quand ils font  leurs assises,

Surtout dans le porno… C’est vrai car les chauds bisent. »

 

« Quand des rebelles annoncent une vraie reddition,

On peut affirmer qu’ils ne sont plus très faction. »

 

« Recherchez bien ces êtres à l’instinct très malin

Car on peut découvrir des satyres dans les coins. »

 

« J’ai toujours apprécié les hommes un peu actifs

Sachant me faire monter, souvent, au septième ciel.

Franz était paresseux, avare de bagatelles

Et la nuit, j’endurais le sommeil d’austère Liszt. »

 

« Là-bas, en Sibérie, les femmes sont au labeur

Car on sait que la moujik adoucit les mœurs. »

 

« Les généraux sont vieux et souvent abîmés :

D’ailleurs pour en parler, on évoque des gradés ! »

 

« Dans le pays nantais, un soldat un peu niais

Revint à la caserne, en étant tout frisé.

Le sergent offusqué lui dit : « T’es une tante ? »

« Mais non, répondit-il, j’ai eu ma perm à Nantes. »

 

« En Algérie, l’infâme qui se lave, c’est troublant

Et quand l’infâme est femme, on a un con sans taon. »

                                          

« La queue en tire-bouchon vous sert à chaque fois…

Comme dit un vieux proverbe : « Qui vrillera, verrat. »

 

Publié dans Calembours

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